La question des rapports désirables entre les êtres humains et leur environnement est devenue une des plus importants de notre temps. Le passage du temps peut être ressenti avec le corps et pensé comme catégorie ontologique mais la façon dont on l’apprécie change et évolue comme partie de l’histoire du conscient de l’homme. Je vois un danger de complaisance envers les problèmes qui existent dans le monde dans le rapport de notre culture au temps. On prend l’habitude de favoriser l’inaction, le culte de l’efficacité technique, et les divertissements au lieu d’expériences sensorielles qui montrent l’interdépendance de la vie et les conséquences de nos comportements pour le reste du monde.

Pour détourner cette situation du piège des vies contemporaines par des passe-temps et divertissements virtuels, je voudrais inciter les gens à réfléchir sur les conséquences qu'impliquent pour l’environnement et pour l’esprit collectif notre société de consommation.